Ces bilans ont pour objectifs d’établir un portrait des concentrations des principaux contaminants, en les comparant, entre autres, aux normes en vigueur au Québec, et de faire ressortir les tendances historiques de la qualité de l’air. Les données proviennent du Réseau de surveillance de la qualité de l’air du Québec (RSQAQ).
Bilan de la qualité de l’air au Québec 2021 (PDF, 5,8 Mo)
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Ces documents brossent un portrait vulgarisé de la qualité de l’air au Québec. On y trouve des informations en lien avec les concentrations des principaux contaminants, mais également un portrait de l’indice de la qualité de l’air (IQA) et quelques faits saillants sur l’année visée. Les données proviennent du RSQAQ.
Revue 2022 de la qualité de l’air au Québec (PDF, 1,3 Mo)
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Les rapports annuels sur les normes canadiennes de qualité de l’air ambiant (NCQAA) font état des concentrations d’ozone, de particules fines, de dioxyde d’azote et de dioxyde de soufre mesurées dans l’air ambiant au Québec.
Rapport 2023 (PDF, 1,1 Mo)
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Ce rapport porte sur les principaux contaminants atmosphériques mesurés au Québec de 1975 à 2009, soit les particules fines (PM2,5), les oxydes d'azote (NO et NO2), l'ozone (O3), le dioxyde de soufre (SO2) et le monoxyde de carbone (CO).
Ce rapport fait état des résultats d’une campagne d’échantillonnage des métaux dans l’air ambiant visant à mesurer les concentrations de 31 métaux dans différents milieux caractéristiques du Québec en 2021.
Bien que la qualité de l’air soit généralement bonne au Québec, les mesures de confinement associées à la COVID-19, qui ont entraîné une diminution du transport routier, ont eu un impact positif sur celle-ci. Ainsi, les concentrations dans l’air des principaux contaminants associés au transport routier ont diminué pendant cette période.
La fumée dégagée par les feux de forêt est composée de différents polluants qui ont un impact direct sur la qualité de l’air ambiant. Ces rapports font état de l’influence des feux de forêt sur la qualité de l’air au Québec.
L’objectif de ce rapport est de décrire l’impact sur la qualité de l’air ambiant des travaux de décontamination des sols qui font suite à l’accident ferroviaire survenu à Lac-Mégantic dans la nuit du 6 juillet 2013.
Cette analyse vise à caractériser les concentrations de PM2,5 au cœur de la municipalité de Lac-Beauport et à évaluer l’impact du chauffage au bois résidentiel sur celles-ci pour la période d'octobre 2012 à septembre 2013.
L’incinérateur de la ville de Québec constitue une source d’émission de contaminants atmosphériques dans l’arrondissement de La Cité-Limoilou. Le Ministère a entrepris deux études, soit une modélisation de la dispersion atmosphérique et un programme d’échantillonnage de la qualité de l’air ambiant, pour mieux comprendre l’impact de cette infrastructure.
Ce rapport vise à faire état de l’évolution de la qualité de l’air à Shawinigan à la suite de la fermeture de l’aluminerie de Rio Tinto Alcan (RTA) qui a été en activité de 1941 à 2014.
Afin de répondre aux inquiétudes des citoyens concernant la qualité de l’air à proximité de l’incinérateur, le Ministère a mis en place, en 2010, un programme d’échantillonnage spécial dans le secteur Limoilou. Les premières données préliminaires analysées en novembre 2012 ont alerté le Ministère quant à de possibles dépassements de la norme annuelle sur le nickel prescrite par le Règlement sur l’assainissement de l’atmosphère (RAA). La norme était alors établie à 0,012 microgramme par mètre cube (µg/m3) dans les particules en suspension totales (PST).
Le rapport suivant présente un résumé de la problématique du nickel (Ni), les concentrations observées au Québec en fonction de la norme de Ni du RAA ainsi qu’un avis sur la cause et sur l’origine des concentrations élevées de Ni mesurées dans le quartier Limoilou à Québec :
Le rapport suivant présente les résultats enregistrés de 2011 à 2013 sous forme de moyennes annuelles mobiles calculées à la fin de chaque mois. Ces moyennes ont été calculées, par exemple, de mars à février, puis d’avril à mars, et ainsi de suite.
Le 27 décembre 2013, la norme horaire de 6 µg/m3 et la norme annuelle de 0,012 µg/m3 ont été remplacées par une norme quotidienne établie à 0,014 µg/m3 dans la fraction des particules de moins de 10 microns (PM10), soit les particules respirables.
Dans les graphiques du document suivant, chaque barre représente la proportion mensuelle des échantillons qui respectent la norme quotidienne :
Depuis le 28 avril 2022, la norme quotidienne de 0,070 µg/m3 est en vigueur. De plus, une norme annuelle de 0,020 µg/m3 a été ajoutée. Elle s’applique au Ni présent dans la fraction des PM10. Pour en savoir plus, pour consulter les graphiques produits avec les données de l’année la plus récente ou pour connaître l’évaluation de la conformité à la norme annuelle, consulter la page suivante :
Historique des graphiques depuis la mise en vigueur des normes le 28 avril 2022 :
Le MELCCFP a mis en place un programme de caractérisation et de suivi de la qualité de l’air à Mercier, permettant la production de trois rapports en collaboration avec la Direction générale du suivi de l’état de l’environnement, la Direction régionale du Centre de contrôle environnemental de l’Estrie et de la Montérégie et le Centre d’expertise en analyse environnementale du Québec (CEAEQ).
Ce rapport du groupe de travail interministériel Santé et Environnement est chargé de porter un jugement sur les niveaux de risques associés aux concentrations d’arsenic dans les villes minières du cuivre (Murdochville et Rouyn-Noranda) et de déterminer, le cas échéant, les mesures que devraient prendre les responsables industriels.
Le Programme de surveillance de la qualité de l’air à Bécancour, réalisé depuis 1995 en collaboration avec plusieurs partenaires, démontre que les activités industrielles dans la région n’ont pas d’impact majeur sur la qualité de l’air du secteur urbain adjacent.
Ces rapports présentent les résultats de plusieurs suivis réalisés dans la ville de Québec afin d’y documenter la qualité de l’air ambiant.
Ce rapport décrit les impacts potentiels de l’incinérateur de Québec, du chauffage au bois, des activités portuaires et du camionnage lourd.
Ce rapport décrit les variations spatiales et temporelles des concentrations de PM2,5 à Québec, pour la période de 2010 à 2018.
Ce rapport fait état de l’évolution de la qualité de l’air ambiant dans la région de Québec pour la période de 1994 à 2008.
Le Ministère a exploité deux stations de mesure temporaires à Sept-Îles de juin 2012 à juin 2013 afin de parfaire la connaissance de la qualité de l’air dans le secteur. Les résultats sont disponibles dans les rapports suivants.