En eau limpide(*), le critère de qualité est défini par une augmentation maximale de 25 mg/L par rapport à la concentration naturelle ou ambiante (non influencée par une source ponctuelle de matières en suspension, par une pluie importante ou par la fonte) selon le contexte.
Ce critère de qualité s'applique aux eaux douces (dulçaquicoles), estuariennes et marines.
(*) Le terme "eau limpide" réfère à la portion d'un hydrogramme où les concentrations de matières en suspension sont basses (<25 mg/L) (Caux et al., 1997). Les teneurs peuvent être élevées en raison des caractéristiques naturelles du milieu (par exemple, dans la zone de turbidité maximale du Saint-Laurent) ou, périodiquement, en raison des conditions climatiques.
En eau limpide(*), le critère de qualité est défini par une augmentation moyenne maximale de 5 mg/L par rapport à la concentration naturelle ou ambiante (non influencée par une source ponctuelle de matières en suspension, par une pluie importante ou par la fonte) selon le contexte.
En eau turbide(*), le critère de qualité est défini soit :
- par une augmentation maximale en tout temps de 25 mg/L par rapport à la
concentration ambiante lorsque celle-ci est de 25 à 250 mg/L;
- par une augmentation de 10 % par rapport à la concentration ambiante lorsque
celle-ci est supérieure à 250 mg/L mesurée à un moment donné.
Ces critères de qualité s'appliquent aux eaux douces (dulçaquicoles), estuariennes et marines.
(*) Les termes "eau limpide" et "eau turbide" réfèrent à la portion d'un hydrogramme où les concentrations de matières en suspension sont respectivement basses (<25 mg/L) et élevées (>25 mg/L) (Caux et al., 1997). Les concentrations peuvent être élevées en raison des caractéristiques naturelles du milieu (par exemple, dans la zone de turbidité maximale du Saint-Laurent) ou, périodiquement, en raison des conditions climatiques.
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