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Bassin versant de la rivière Chaudière (1997)Modifier nos pratiques agricoles... la priorité (suite)Qualité des eaux de surfaceOn constate que la qualité de l'eau et des usages dans le bassin se dégrade au fur et à mesure que les pressions exercées par les activités socioéconomiques s'intensifient. Au coeur de la zone plus forestière et naturelle du territoire, dans la portion supérieure du bassin, la qualité de l'eau est très satisfaisante ou bonne. Cette situation perdure jusqu'à la municipalité de Scott, située en bordure de la rivière Chaudière. Au-delà de la municipalité de Scott, l'eau de la rivière Chaudière devient progressivement de mauvaise qualité. La concentration des activités agricoles dans cette portion du bassin produit un impact considérable sur la qualité de l'eau. Les rejets en azote et en phosphore du sous-bassin de la rivière Beaurivage jouent un rôle majeur dans cette détérioration. Additionnés aux apports agricoles, les rejets urbains non traités des municipalités de Charny, Saint-Nicolas et Saint-Rédempteur font qu'à l'embouchure du bassin l'eau rejetée au fleuve Saint-Laurent se révèle de qualité médiocre. |
Ce portrait de la qualité de l'eau a été réalisé à partir d'un indice calculé pour des stations d'échantillonnage par la Direction des écosystèmes aquatiques du ministère de l'Environnement et de la Faune. La carte ne rend pas compte des améliorations ou détériorations locales ayant pu se produire entre deux stations.
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