Statistiques annuelles des secteurs de l’indice de la
qualité de l’air pour l’année 2015

La qualité de l’air a beaucoup varié dans les 17
secteurs
urbains où l’IQA a été calculé. En 2015, les pourcentages de jours où la
qualité de l’air était « mauvaise » ont varié de moins de 1 % à Sherbrooke
(secteur est) à 27 % à Témiscaming.
Par rapport à l’année précédente, la proportion moyenne de jours où la
qualité de l’air a été « bonne » ou « acceptable », dans l’ensemble des
secteurs, a reculé de 1 % pour atteindre 93 %. La proportion moyenne de
jours où la qualité de l’air a été « mauvaise* » a subi une hausse de 1 %
pour s’établir à 7 %, ce qui constitue le deuxième meilleur résultat depuis
les débuts de l’IQA en 2004.
Il faut noter que, contrairement aux statistiques régionales, qui
s’appuient essentiellement sur des mesures homogènes de particules fines et
d’ozone, les statistiques relatives aux secteurs peuvent tenir compte de
polluants issus d’une source locale qui n’est pas perçue à l’échelle
régionale. Cela implique que la valeur de l’IQA d’un secteur peut être
différente de celle de la région où se situe ce secteur.
Les
sources locales d’émissions atmosphériques influençant l’IQA d’un
secteur varient d’un endroit à l’autre.
* Survient lorsque la concentration d'au moins un des
contaminants
considérés dans le calcul de l’IQA dépasse sa valeur de référence
horaire.
|