Statistiques annuelles des secteurs de l’indice de la
qualité de l’air pour l’année 2012

La qualité de l’air a beaucoup varié dans les 17
secteurs
urbains où l’IQA a été calculé. En 2012, les pourcentages de jours où la
qualité de l’air était « mauvaise » ont varié de 2 % à Saguenay (secteur de
l’université) à 31 % à Témiscaming.
Par rapport à l’année précédente, le nombre total de jours où la qualité
de l’air a été « mauvaise* », dans l’ensemble des secteurs, a augmenté de
2 %, et celui où la qualité de l’air était « bonne » a diminué de 3 %. Le
nombre de jours où la qualité de l’air a été « acceptable » a augmenté de
3 %. Malgré ces variations, les statistiques sectorielles sur l’IQA en 2012
sont similaires à celles observées depuis 2004.
Il faut noter que, contrairement aux statistiques régionales qui s’appuient
sur des mesures homogènes de particules fines et d’ozone, les statistiques
relatives aux secteurs peuvent inclure des mesures provenant d’un polluant
qui est issu d’une source locale et qui n’est pas perçu à l’échelle
régionale. Cela implique que la valeur de l’IQA d’un secteur peut être
différente de celle de la région où se situe ce secteur.
Les
sources locales d’émissions atmosphériques
influençant l’IQA d’un
secteur peuvent varier d’un endroit à l’autre.
* Survient lorsqu’au moins une concentration moyenne de particules fines sur
3 heures est supérieure à 35 microgrammes par mètre cube (µg/m3) ou
lorsqu’au moins une concentration horaire d'ozone supérieure à 82 parties
par milliard (ppb) est mesurée à au moins une station de la région.
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