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Statistiques annuelles des secteurs de l’indice de la qualité de l’air pour l’année 2011La qualité de l’air a beaucoup varié dans les 17 secteurs urbains où l’IQA a été calculé. En 2011, les pourcentages de jours où la qualité de l’air était « mauvaise » ont varié de 2 % à Trois-Rivières, dans le secteur du sanctuaire, à 33 % à Témiscaming. Par rapport à l’année précédente, le nombre total de jours, dans l’ensemble des secteurs, où la qualité de l’air a été « mauvaise* », est demeuré stable, et celui où la qualité de l’air était « bonne » a diminué de 4 %. Le nombre de jours où la qualité de l’air a été « acceptable » a augmenté de 5 %. De 2010 à 2011, c’est dans le secteur Saint-Joseph-de-Sorel, à Sorel-Tracy, que la qualité de l’air s’est le plus améliorée. Malgré ces variations, les statistiques sectorielles sur l’IQA en 2011 sont similaires à celles observées depuis 2004. Il faut noter que, contrairement aux statistiques régionales, qui s’appuient sur des mesures homogènes de particules fines et d’ozone, les statistiques relatives aux secteurs peuvent inclure des mesures provenant d’un polluant qui est issu d’une source locale et qui n’est pas perçu à l’échelle régionale. Cela implique que la valeur de l’IQA d’un secteur peut être différente de celle de la région où se situe ce secteur. Les sources locales d’émissions atmosphériques influençant l’IQA d’un secteur peuvent varier d‘un endroit à l’autre. * Survient lorsqu’au moins une concentration de particules fines supérieure à 35 µg/m3 (sur une période de trois heures) ou lorsqu’au moins une concentration d'ozone horaire supérieure à 82 ppb est mesurée à au moins une station de la région. |
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