Statistiques annuelles des secteurs de l’indice de la
qualité de l’air pour l’année 2010

La qualité de l’air varie beaucoup dans les 17
secteurs urbains où l’IQA était calculé. En 2010, les pourcentages de
jours où la qualité de l’air était « mauvaise » ont varié de 1,9 % à
Gatineau, dans le secteur Hull, à 34,5 % à Sorel-Tracy, dans le secteur de
Saint-Joseph-de-Sorel.
Par rapport à l’année précédente, le nombre total de jours, dans
l’ensemble des secteurs, où la qualité de l’air a été « mauvaise* », a
augmenté de 17 %, et celui où la qualité de l’air était « bonne » a diminué
de 8 %. Le nombre de jours où la qualité de l’air a été « acceptable » a
augmenté de 6 %. De 2009 à 2010, c’est dans le secteur de Témiscaming que la
qualité de l’air s’est le plus améliorée. Malgré ces variations, les
statistiques sectorielles sur l’IQA en 2010 sont similaires à celles
observées depuis 2004.
Il faut noter que, contrairement aux statistiques régionales, qui
s’appuient sur des mesures homogènes de particules fines et d’ozone, les
statistiques relatives aux secteurs peuvent inclure des mesures provenant
d’un polluant qui est issu d’une source locale et qui n’est pas perçu à
l’échelle régionale. Cela implique que la valeur de l’IQA d’un secteur peut
être différente de celle de la région où se situe ce secteur.
Les sources locales d’émissions atmosphériques
influençant l’IQA d’un secteur peuvent varier d‘un endroit à l’autre.
* Survient lorsqu’au moins une concentration de particules fines supérieure à 35 µg/m3 (sur une période de trois heures) ou lorsqu’au moins une concentration d'ozone horaire supérieure à 82 ppb est mesurée à au moins une station de la région.
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