|
|
|
Statistiques annuelles régionales sur l’indice de la qualité de l’air pour l’année 2016
En 2016, l’indice de la qualité de l’air (IQA) a été calculé dans 24 régions météorologiques, l’île de Montréal étant subdivisée en quatre sous-régions. Le pourcentage de jours où l’IQA a été qualifié de « bon » ou d’« acceptable » a varié de 95 % sur l’île de Montréal (environ 347 jours sur 366) à 100 % dans les régions de l’Estrie, de la Beauce, de la Haute-Gatineau, des Bois-Francs, de Lanaudière, de Montmagny, des Laurentides, de Témiscamingue, de Mont-Laurier, de l’Abitibi, du Témiscouata, de Rivière-du-Loup et du Lac-Saint-Jean. C’est sur l’île de Montréal que la qualité de l’air a été le plus souvent « mauvaise* », avec une proportion de 5 % (soit 19 jours sur 366). Ce résultat constitue une nette amélioration par rapport aux 16 % observés en 2015. Il s’explique par la fermeture d’une station du réseau de surveillance de la qualité de l’air de la ville de Montréal qui enregistrait une mauvaise qualité de l’air en raison de la présence d’une source locale d’émissions de particules fines. Consultez le bilan environnemental 2016 de la Ville de Montréal pour plus de détails. Globalement, l’IQA a été « bon », « acceptable » ou « mauvais » dans une proportion de 64 %, 35 % et 1 %. Par rapport à 2015, l’IQA « bon » a augmenté de 8 % au détriment de l’indice « acceptable », qui a diminué de 7 %, et de l’indice « mauvais », qui a diminué de 1 %. En 2016, la qualité de l’air s’est améliorée dans toutes les régions couvertes par l’IQA. * Survient lorsque la concentration d'au moins un
des
contaminants utilisés pour le calcul de l’IQA dépasse sa valeur de
référence horaire à au moins une station de la région. |
|