Statistiques annuelles régionales sur l’indice de la
qualité de l’air pour l’année 2007

En 2007, l’IQA était calculé pour 22
régions
météorologiques, l’île de Montréal étant subdivisée en 4 sous-régions.
Le pourcentage de jours où l’IQA a été qualifié de « bon » ou
d’« acceptable » était supérieur à 90 % dans toutes les régions couvertes,
une première depuis l’implantation du programme. Il a varié entre 91,1 % et
98,3 %. Comme pour les années précédentes, on observe que c’est sur l’île de
Montréal que la qualité de l’air a été le plus souvent « mauvaise* »,
avec un pourcentage de 9,3 % (34 jours sur 365, le plus faible nombre
observé depuis 2004).
En 2007, ce pourcentage a été de 1,9 %, soit 172 heures sur 8755 heures
valides, un nombre légèrement inférieur à celui de 2006.
Plus les régions concernées sont éloignées de Montréal, plus la qualité
de l’air s’améliore, peu importe dans quelle direction ces régions se
trouvent.
* Survient lorsqu’au moins une
concentration de particules fines plus grande que 35 µg/m3 (sur
une période de trois heures) ou au moins une concentration d'ozone horaire
plus grande que 82 ppb est mesurée à au moins une station de la région.
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