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Statistiques annuelles régionales sur l’indice de la
qualité de l’air pour l’année 2004
En 2004, l’IQA était calculé pour 18
régions
météorologiques et 4 sous-régions de l’île de Montréal. Le pourcentage
de jours durant l’année où l’indice de la qualité de l’air a été qualifié de
« bon » ou d’« acceptable » a été, pour la plupart d’entre elles, supérieur
à 91 % (environ 333 jours). Ce ne fut pas le cas cependant pour la
Vallée-du-Richelieu et l’île de Montréal, où ce pourcentage a été
respectivement d’environ 87 % (317 jours sur les 363 pour lesquels des
valeurs ont pu être calculées durant l’année) et 82 % (301 jours sur 366).
C’est donc dans ces deux secteurs que la qualité de l’air a été le plus
souvent « mauvaise* », avec un
pourcentage respectif de 13,2 % (48 jours) et de 17,8 % (65 jours). En
heures, ces pourcentages étaient de 3,8 % (320 indices horaires sur les 8382
qui ont pu être calculés) et 4 % (349 indices horaires sur 8781).
D’un point de vue territorial, plus les régions concernées sont éloignées
de Montréal, plus la qualité de l’air s’améliore, peu importe dans quelle
direction ces régions se trouvent.
* Survient lorsqu’au moins une
concentration de particules fines plus grande que 35 µg/m3 (sur
une période de trois heures) ou au moins une concentration d'ozone horaire
plus grande que 82 ppb est mesurée à au moins une station de la région.
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